jeudi 25 mars 2010

Les élèves d'une classe de l'école Pierre Curie d'Arras font leur mur pour aider l'Unicef

Dans le cadre de leurs activités scolaires,

les élèves de la classe de Mlle Nadine Migacz, de l’Ecole Pierre Curie d’Arras,

ont été amenés à réfléchir sur les problèmes liés à la malnutrition dans le monde,

aux actions menées par l’UNICEF, et aux moyens de participer eux-mêmes.

Voici comment des enfants de 8 ans d’âge moyen

perçoivent et racontent leur action avec leurs mots.

Hugo :

Nous avons vu des affiches d’enfants dans les pays pauvres.

On a vu des enfants qui ont faim.

Julie :

On a vu une image avec un enfant très maigre parce qu’il y a la famine dans son pays.

Laura :

Trois à cinq millions d’enfants meurent de faim chaque année.

Krys :

Nous soutenons l’UNICEF pour contribuer au sauvetage de plusieurs enfants.

Solenne :

Pour aider l’UNICEF à secourir les pays qui souffrent de la malnutrition, nous avons vendu des « briques » qui valent 1€, pour acheter une barre nutritive nommée « Plumpy Nut ».

Jean-Gabriel :

Nous avons aidé l’UNICEF qui elle-même aide les enfants souffrant de la malnutrition et de sous nutrition.

1€ = 1 jour de vie,

28€ = 1 enfant sauvé.

Avec l’argent, l’UNICEF fabrique des barres nutritives.

Violette : Un jour, Madame a ramené des « briques ».

Elle nous les a données puis elle a dit :

« il faudrait les vendre 1€ et les ramener avec les sous.

En échange, elle a donné un ruban UNICEF.

Une brique vaut une journée de soins.

Prescillia :

Nous avons fait des briques tous ensemble.

Marine D. :

Avec les briques, on va faire le mur de l’espoir.

Thomas : On a acheté des « briques » qui vont servir à sauver des vies en achetant des « plumpy Nuts ».

Une « brique » vaut 1€.

Nous avons ensuite fait des murs avec ces « briques ».

On a écrit des petits mots qui vont les rassurer.

Solveig :

Le « Plumpy Nut » est une pâte nutritive thérapeutique capable de guérir un enfant.

Morgane : On a vendu des « briques » 1€

pour sauver des enfants pauvres

qui n’ont pas les moyens d’acheter à manger.

Alice :

Nous avons récupéré de l’argent en échange des « briques ».

Nous les avons réunies pour faire 3 murs de l’espoir…

Katia :

Les briques données par Madame étaient autocollantes.

Florent :

…. Si on achetait 28 briques, on sauvait une vie.

Nous avons personnalisé nos «briques » avec des dessins et de gentils mots comme par exemple : « Nous allons vous sauver et ça va aller »

( Lukas),

« Bon courage, survivez!( Théo),

« Tous pour l’UNICEF, ON VOUS AIME »

( Alice),

« On vous aime, tenez bon, survivez s’il vous plaît ! » (Morgane),

« VIE EN DANGER ! (Morgan),

« Bonne chance, vie en danger( Marine V.),

« Vive la solidarité ! » ( Tom).